Robin  -  D'où je viens  -  Personnages humains  -  Personnages féeriques  -  Personnages extraterrestres  -   Les lieux  -  Les chants  -  Les sources

Ce n’est pas assez de faire des pas qui peuvent un jour conduire au but.
Chaque pas doit être lui-même un but en même temps qu’il nous porte vers l’avenir.
Baldil cite Goethe (introduction)

— Bonjour, dit le lutin.
— Qui es-tu ? fait l’humain.
— Un lutin, répond-il.
— Mais tu n’existes pas !
— Pourquoi me parles-tu,
Si tu ne peux y croire ?
Chant 1. Baldil.

Tout dit dans l’infini quelque chose à quelqu’un.
Une pensée immense emplit le tumulte superbe...
Vents, ondes, flammes, arbres, roseaux, rochers,
Tout vit, tout est plein d’âmes.
Chant 2. Baldil cite Victor Hugo.

Le monde de féerie n’existe pas que dans les rêves,
Le monde de féerie s’ouvre pour toi si tu le souhaites.
Chant 3. Baldil.

Écoutez tous ! Ainsi commence l’histoire de Robin.
Jeune homme banal et ignorant.
Grand voyageur du Merveilleux, de l’Étrange, et du Mystère.
Chant 4. Baldil.

Celui qui ne fait de mal à aucun être, réussit sans difficultés, quelle que soit la chose qu’il médite, qu’il fasse, à laquelle il attache sa pensée.
Chant 5. Baldil cite Lois de Manou, Livre V.

Oh ! Homme de peu de foi,
Tu as blessé mon cœur d’une atteinte cruelle.
Comment peux-tu renier ton lutin fidèle,
Et préférer l’ennui à une vie nouvelle ?
Chant 6. Baldil. Complainte du Lutin.

Chant 7. Baldil. Mes compétences.
Scribe, Copiste, Calligraphe
Spécialiste en phylactères

Toutes les difficultés que vous trouverez dans la vie, toutes vos mésaventures et vos cauchemars, tout ce que vous considérez comme des punitions divines, ne sont en réalité que des cadeaux.
Ce sont des occasions de poursuivre son évolution, ce qui est l’unique raison d’être de la vie.
Chant 8. Baldil cite Elizabeth Kübler-Ross.

Identifier son Étoile,
Voir son Soleil intérieur,
C’est débuter la quête de la Réalisation.
Chant 9. Baldil

Méditez sur la lumière :
— Premièrement vous êtes dans la lumière.
— Ensuite la lumière est en vous.
— Enfin vous êtes la lumière.
Chant 10. Baldil cite Sathya Saï Baba

Au premier regard on se reconnaît.
Au premier geste on se rapproche.
Au premier mot on se comprend.
À la première étreinte on s’unit.
Chant 11. Baldil.

L’être aimé résonne en nous
Comme la musique des sphères.
Chant 12. Baldil.

Agissez, le ciel agira.
Chant 13. Baldil cite Jeanne d’Arc.

Il n’y a pas de remède à l’amour que d’aimer davantage.
Chant 14. Baldil cite Henry D. Thoreau

Un jour, par delà la mort,
Je marcherai dans les limbes.
Mon ange me dira : «  Es-tu prêt pour l’Éternité ?
Ne regrettes-tu rien de la Terre ? »
J’y verrai mes amis, mes enfants, mes amours,
Et je dirai. « Je n’ai pas tout accompli. »
De retour parmi eux, je regarderai le Ciel
Et je penserai.
« Un jour par delà la mort,
Je marcherai dans le Soleil. »
Chant 15. Baldil. Complainte des Humains.

L’enfant de la Licorne a déployé ses ailes.
Sur son front triomphant s’érige un glaive d’or.
Sous ses sabots de feu qui parcourent la terre,
Une source a jailli pour abreuver les âmes.
Chant 16. Baldil.

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme.
Chant 17. Baldil cite François Rabelais.

Et toi, fée aux yeux d’astre, au cœur gonflé de ciel,
Fontaine d’où coulait le lait avec le miel,
Rire d’éternelle jeunesse !
Chant 18. Baldil cite François Brousse.

N’oubliez pas que je vous reviendrai.
Encore un peu, et mon ardeur recueillera
écume et poudre pour un autre corps.
Encore un peu, un court répit dans le vent
et une autre femme m’enfantera.
Chant 19. Baldil cite Khalil Gibran.

Dans le miroir où dansent les lutins
Meurent les flammes et naissent les nuées.
Le visage qui passe dans l’écume
Est un miroir où quelqu’un se regarde.
Chant 20. Baldil cite François Brousse.

Cher Pan, et vous divinités de ces lieux,
Donnez-moi la beauté intérieure
Et que l’extérieur soit en harmonie avec l’intérieur.
Chant 21. Baldil cite Socrate.

Le Désert devient semblable au Ciel.
Tu peux dire que l’Enfer n’est plus.
Assieds-toi donc au Ciel
Avec une amie au visage céleste.
Chant 22. Baldil cite Omar Khayyâm.

Refuser l’amour d’une seule personne
Pour en distribuer à la multitude
N’est pas honorable,
Car la capacité d’amour est inépuisable.
Accepter d’être aimé, c’est savoir aimer.
Chant 23. Baldil.

Combien nombreuses sont tes œuvres
Mystérieuses à nos yeux.
Chant 24. Baldil cite Akhenaton